Question:
Cartagena, port d'attache de la marine républicaine pendant la guerre d'Espagne, ou sont tes souvenirs ?
anonymous
2008-06-14 14:42:54 UTC
Sur le port, j'essayais de terminer une aquarelle, une ombre passa tout près de moi, je levais les yeux et croisais le regard d'un joli marin Russe................................................ Terminez l'histoire............................ les 10 points seront pour vous.
Deux réponses:
gregory
2008-06-14 23:30:46 UTC
....le regard d'un joli marin russe ...!

-De loin je voyais bien qu'il te dévisageait avec insistance..! Je ne m'en inquiétait pas plus que nécessaire, toi, si douce et si légère tu n'allais pas apprécier qu'il ne slavait pas depuis la chute du mur..! L'Hanibalovski, c'etait son prénom, passa donc son chemin sans mot dire..Normal..! Il était muet..



D'une tendre aquarelle à un marin pas slavé..ton choix était fait..! Toi aussi tu as de la narine..!



Et voilà comment casser un rêve..



Bon dimanche à tous les équipages.. Mdr...
anonymous
2008-06-14 15:13:08 UTC
Au regard bleu azur . Il alluma une cigarette et s’approcha de moi . je remarqua qu’il avait une légère cicatrice au menton qui se prononça lorsqu’il me sourit . Il me proposa une cigarette que j’accepta volontiers .

Il engagea la conversation, il avait un accent cassant mais très sensuel dans la façon et le concept Russe , ce qui m’a séduit totalement .

J’aspira une bouffée de cette cigarette de marque dragonof qui me fit penser succinctement aux mort causés par ce peuple, son regard était tel que cette pensée se dissolva rapidement .

Il s ‘assit près de moi, son odeur me parvint aux narines, une odeur douce me rappela les jardins de mon école, une odeur de pin et de lavande .

Prise d’une pulsion incontrôlable je pensa à l’embrasser langoureusement …….

Je remarqua qu’il portait une alliance, il s’allongea près de moi .

Le temps était ensoleillé et il me fit l’apologie des bienfaits de l’été, ce qui me fit rire .

Je posa ma tête sur le sol .

-« quel est votre prénom ? » me demanda t-il .

-« Lucy » lui répondis-je calmement .

Il sourit et m’expliqua qu’une de ces cousine s’appelait Matcha .

Matcha était institutrice à la périphérie de Moscou, elle était veuve .

Mariée à un marin nommé dimitrov, il perdit la vie au large de Béring .

J'écrasa alors mon mégot sur l'herbe, y gratta un peu le sol avec mon talon et y déposa mon reste de cigarette .

Ce qui le fit sourire, il fit pareil de son côté.


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